Bonjour à tous – voici sans délai la programmation de ce lundi 21 août, autour du festival Jazz en Touraine, à Montlouis du 8 au 17 septembre, avec des artistes de tous horizons et de multiples couleurs musicales, pour prolonger un peu l’été
EARTH, WIND & FIRE – September / EWF GREATEST HITS (1999/Columbia)
Fred WESLEY + ABRAHAM INC. – Abe Inc’s House Party / TOGETHER WE STAND (2019/Label bleu)
The JB’s PEOPLE – The JB Horns / JB’S PEOPLE (1998/Soulciety – Media 7)
David Lee ROTH – Just A Gigolo / CRAZY FROM THE HEAT (1985/Warner Bros.)
Le LIVRE de la JUNGLE – Être un homme comme vous / BOF française du Livre de la Jungle (1967/Disney)
Kyle EASTWOOD – Gran Torino / CINEMATIC (2019/Jazz Village PIAS)
Robin McKELLE – Somethin’s Gotta Give / Introducing Robin McKELLE (2006/Harmonia Mundi)
SIXUN – Petit Chartier / EXPLORE (1988/Bleu Citron – Verve)
SIXUN – The Seven Keys / UNIXSITY (2022/Dreyfuss Jazz)
Vous retrouvez toute la programmation du festival Jazz en Touraine en allant sur le site du festival : https://www.jazzentouraine.com/
Et pour ma part, je vous retrouve en direct en septembre : vous serez informés du retour de l’émission par le site, cette page ou à l’antenne.
Pour la deuxième saison du Béton Classics Cuts, la radio vous proposera un voyage dans le temps, entre les années 90 ; 2000 et 2010.
Pour la deuxième saison du Béton Classics Cuts, la radio vous proposera un voyage dans le temps, entre les années 90 ; 2000 et 2010. Pour démarrer cela, rien de tel que de partir en 1996 avec Luke Vibert & Busta Rhymes ; de rebondir en 1997 avec la vaste année Drum’n’Bass de Photek ; la effluve Pop cinématique de Rob en 2001 mais aussi la Pop Bowesque de Hawksley Workman & la destruction R’n’R de Tokyo Sex Destruction.
Cymande – Brothers On The Slide (1974) Gary Wilson – Gary’s In The Park (2004) Rob – Don’t Kill (2001) Hawksley Workman – Bullets (2000) Trans Am – Home Security (1998) Add N To X – The Black Regent (1998) Tricky – Christiansands (1996) DJ Vadim – The Harp Song (2002) Fredovitch – King Kong Cha Cha (1999) Syd Matters – Someday Sometimes (2005) AtJazz – It’s Complete (Chateau Flight Dark Side Remix – 2001) Bob Sinclair – Rock Solid Evidence – Letyourselfgo ft Th Alchemist & Phonte (2007) Busta Rhymes – Woo Hah!!! Tokyo Sex Destruction – Pills To Wait For The Summer (2004) Refused – Trick Bog (1994) Black Rebel Motorcycle Club – Red Eyes & Tears (2001) Electric Electric – La Motta (2007) Luke Vibert – Fused Into Music (1997) Photek – Aleph 1 (1997) Boymerang – Mind Control (1997)
Gift Of Gab (R.I.P)
Blackalicious – Deception (1999) Blackalicious – Chemical Calisthenics (2002)
NERD – She Wants To Move (2003) Quasimoto – Microphone Mathematics (1999)
Une année 2020 désastreuse pour la musique, une année qu’on oubliera pas de sitôt. Reste l’histoire et ses légendes. Hommage à TY mais aussi Many Dibango ; Tony Allen & MF Doom. Bienvenue, Welcome Aboard.
Pour le troisième Hors-Série du Futur Mix, 4 hommages dans la session « In Memory of » :
Celle du MC et producteur TY.
Le maitre de la science de la danse Tony Allen.
L’approche dans l’exploration musicale de la diaspora Africaine de Manu Dibango.
Le modeste et mystérieux MC et producteur MF DOOM, qui a crée une oeuvre éblouissante entre l’époque KMD dans les 90’s et la transformation en vengeur masqué à partir de 1999.
Tracklist dans le lien d’écoute. Image par Jeks One.
Un univers secret qui mélange l’origine du monde et des sons.
Un univers secret qui mélange l’origine du monde et des sons, entre 10CC, Beach Boys & Larry Levan.
Au début du XXIème siècle, The Avalanches sort « Since I Left You » un délirant album de collage sonore entre Funk ; Sunshine-Pop ; New-Wave ; Breakbeats ; Rock ; Folk ; Disco… précisément en novembre 2000, uniquement en Australie et la Nouvelle-Zélande. Pourquoi ? Parce que pour le sortir dans le monde entier, il fallait que le label Modular et l’équipe du label XL Recordings face un maximum d’effort pour Clearer… presque 3500 samples. Vous allez me dire, mission impossible ? Presque. Au final, c’est presque 900 samples qui sont Clearer pour une sortie dans le monde en avril 2001. Un disque de Diggers, qui passera vers le succès publique et critique en Angleterre avec un morceau, Frontier Psychiatrist, arrivant dans le Top 10 des Charts UK, suivi par les Etats-Unis et… timidement, comme très souvent en France, mais pas ici sur Béton car l’album fut « Album De La Semaine » .
Entre 2001 et 2016, Robert Charter & Anthony Di Blasi sont assez retournés du succès dans le monde de l’album, difficilement défendable sur une scène, et décide de faire une longue pause avec l’apprentissage d’instruments de musique, idéal pour parfaire un background parallèle aux samples qu’ils utilisent. Malgré la valeur sentimentale de celle-ci, un des membres décida de prendre un nouveau départ, en proposant sa collection à une association caritative et sa boutique de Melbourne Licorice Pie Records, afin de mieux repartir sur une création singulière entre l’organique, les samples et les voix. Ce qui a donné d’ailleurs « Wildflowers », bien plus Hip-Hop et Funky, assez logique d’une technique qui fait la force de ce style depuis des années.
Aujourd’hui, le duo propose un nouvel album qui s’intitule « We Will Always Love You », qui est inspiré en partie par le projet Voyager Space Probes, et son idée dit Golden Records, soit des disques destinés à être entendus par les civilisations extraterrestres, et qui contenaient des sélections du monde entier et des salutations en 55 langues. Une idée universelle, et de l’amour qui en découle, via la relation entre Carl Sagan (le président du comité d’assembler le matériel pour les disques Voyager) et l’autrice et réalisatrice Ann Druyan (sur la pochette), qui se sont mariés après leur rencontre en travaillant sur le projet. Comme vous pouvez le comprendre, le 3ème album est fortement conceptuel, et il est loin d’être anecdotique dans une époque qui aime les titres à la chaine et le dégueuli de la production « More is more » qu’adore le fucking assault Spotify et ses pas mieux actionnaires.
Music is The Light, et les contrastes que propose l’album sont en accord parfait avec la terre et l’espace, tout en aller-retour, entre traduction en son d’une image ou celui du codage en l’encontre des E.T qui fini l’album. La ligne directrice est celle d’une voix en introduction, une histoire de fantôme qui ramène les morts et les vivants sur un même pied d’estale. Une mélancolie s’installe, sous une voix Soul, hommage à une actrice fort mal connue du cinéma Américain : Barbara Payton, comédienne pour Trapped (1939) de Richard Fletcher et d’autres films noirs des 50’s. Malgré une suite mielleuse avec Blood Orange (titre de l’album, pas le meilleur paradoxalement, comme Interstellar Love) c’est avec « The Divine Chord » que l’album démarre réellement, genre de Sunshine-Pop aux voix célestes avec MGMT & Johnny Marr… car, au niveau distribution, on ne rigole pas : Tricky ; Neneh Cherry ; Cola Boyy ; Mick Jones ; Denzel Curry ; Sampa The Grea… du coup vampirisation des artistes pour disque inégal ? Heureusement, pas du tout, la densité rassurante & modeste du duo s’imprègne dans une fluidité qui instaure avec douceur la Pop autant que la Space Synth-Pop ; la Disco ; la House ; la Soul ; la Trap et et Gospel. L’amour, la spiritualité, la voix rocailleuse de Tricky dans le Dub hypnotique et House Downtempo « Until Daylight Comes » ou le Disco Uplifting « Music Makes Me High » qui rappelle la même attitude que le morceau « Over & Over » de Sylvester rappelle la puissance de l’écriture des Australiens, tandis que « We Go On » ou « Reflecting Light » ramène à « Since A Left You ». Le 3ème album transpire sans aucun doute la plus grande honnêteté dans la carrière du duo, tout comme « Dots & Loops » de Stereolab dans sa même thématique (mais ça, je sais que tout le monde ne sera pas d’accord).
Chaque fin du mois en page principale, vous retrouverez la totalité des émissions, à écouter ou à télécharger comme bon vous semble.
Bienvenue dans la première saison de 2020 du FUTUR MIX, comme dans une partie de Ping-Pong : des références, des ponts, des logiques esthétiques et une cohérence éditoriale, suite logique de l’émission du même nom, crée par Alex aka Volvotraxx en 1997 sur cette même antenne.
Chaque fin du mois en page principale, vous retrouverez la totalité des émissions, à écouter ou à télécharger comme bon vous semble.
Au programme :
A comme Actress ; R comme Rone ; P comme Pit Spector ; Y comme Yelle mais aussi J comme Jarv Is et V comme … V.
Au programme :
Cette semaine pour le deuxième numéro du Futur Mix, nous allons nous envoler vers la Russie avec la découverte de la semaine : Kate NV. Mais aussi un extrait d’un Live inédit de Matmos enregistré durant le confinement ; le retour fracassant de Flava D & Red Snapper ; la House matinale de Hollis Parker ; la lucidité de Chris Korda ; le jazz spirituel d’Harry Whittaker et la cool attitude d’Action Bronson.
Au programme :
Cette semaine, les curseurs seront au rouge avec la découverte au nom de Yunis ; l’ovni musical de Gavsborg ; l’autre vision de l’Afro-Futurisme Off-Beat avec MIKE & Earl Sweatshirt ; la House fresh de Disclosure ; un reeeeewind UK-Garage ; la Techno-Dub aquatique de LDS ; le Punk-Funk minimal d’ESG.
Au programme :
Cette semaine, les très freaks Clipping ; le retour de Pole ; la merveille Atjazz en remix pour St Germain & des gammes House & Electro-Funk saignantes.
Cette semaine, introduction avec un hommage à Silver Apples ; Matmos en Live ; de la D’n’B avec Flava D & le spiritual Jazz d’Harry Whittaker.
Silver Applers – Salad (RIP Simeon Cox) Kate NV – Plans Wajatta – Don’t Let Get You Down (Brainfeeder) Antipop Consortium – Ghostlaws (Warp) Matmos Live @ Lockdown (Unreleased) Red Snapper – Truth 1 (Lo Recordings) Red Snapper – Last One (Warp) Hollis Parker – Uptown Sunday Morning I-Robots – Glamouflage (Kuniyuki Takahashi Jungle remix) Henrik Schwarz – Ame – Dixon ft Derrick Carter – Where We At Chris Korda – Overshoot (Perlon) Flava D – What You Mean 2 Me (Hospital) London Elektricity – The Great D’n’B Swindle Burial – Pirates Ghost Phone 02 – Single & Searching Zuukou Maysie – Qui-Gon Jinn ft Freezecorleone Action Bronson – Golden Eye Harry Whittaker – Black Renaissance (1976)
Un morceau épique de L.T.D ; un hommage à Edwin Birdsong ; la touche fine de DJ Clea ; Lali Puna et un nouveau morceau total beauty ; la Hip-Hop Drunky & Wonky de Knxwledge ; Earl Sweatshirt ft Navy Blue ; Nightmares on Wax ft Steve Spacek pour la relance des séries Back To Mine ; l’amour de la House par DJ Deep & Hollis Parker et même de la Transe avec Transformation