Dans le cadre des ateliers de la Ville de Tours, avec les Ecoles de Tours, voici les fictions radiophoniques réalisées par les écoles avec Radio Beton sur le thème « Ma ville quand je serai grand ».
La Classe de Mr Raimbault, les CM de l’Ecole Buisson-Molière à Tours a inventé cette aventure digne d’Indiana Jones au pays des E.T. Merci les enfants pour ces grands moments et bravo!
« N’empêche que j’ai grave choppé grâce à MSN. »
Chris Garneau – Our man
Roudoudou – Zoom-zoom
The Orwells – In my bed
HHH – To the fisherman
Adriano Celentano – 24 000 Bacci
Elephant Stone – Setting sun
Autistic Youth – – Ghost in my past
St.Lô – My bottle
Pretty Lights – Vibe vendetta
Sultan Bathery – Spring of youth
The Scales – Near the river
Buddy Buddah – Night throught silence **album de la semaine**
The Brothers Johnson – Strawberry letter
Arte Radio
M.O.P – Cold as ice
Nick Waterhouse – Dead room
Ghinzu – This war is silent
Cloud Nothings – I’m not part of me
Kid Koala – 8 bit blues
Disiz – Banlieusard syndrome
Chad Vangaalen – Leaning on bells
Camilla Sparksss – You’re awesome
Cheveu – Juan in a million
Buddy Buddah – Buddy Buddah **album de la semaine**
DPSLY / AGENDA
Power Solo – Satisfy
King Khan – Bite my tongue
Le Quart D’heure Tourangeau avec Funktrauma
Pauses musicales : Abracadabang / Bridget / Blood Disco
Le Lindt blanc c’est un peu le Galak pour adultes
TETE – Les Rallyes
BROKEN BELL – Perfect world
EAGULLS – Footsteps
ZION TRAIN – Follow like wolves
AGENDA
SUKOÃ FEVER – Elastic mind
PICA PAO – Margarida perfumada
JEAN SEBASTIEN IS BACK – Mojitol
TIKEN JAH FAKOLY – Vieux Père
THE CHERRY BONES – Hidden by the grave
DES POCHES SOUS LES YEUX
REDIFFUSION DE L’INTERVIEW DE LOLA LAFON
GUNS N ROSES – Sweet Child O’Mine
PAROV STELAR – Booty Swing
ALB – She said
BUDDY BUDDAH -Magix Majax *Album de la semaine*
PRINCE MIIAOU – Crystal Haze
CHINESE MAN – Catter (There They Go) feat. EX-I
SYSTEMA SOLAR – Yo Voy Ganao
METRONOMY – Love Letters
TIJUANA PANTHERS – Boardwalk
Autant Fall Out Boy j’respecte à mort, autant là…
Expo – Estocolmo
Chinese Man -Scatter (there they go) feat. Ex-I
My Little Cheap Dictaphone – Bitter taste of life
Pharrell Williams – Gust of wind
Rocky – Chase the cool band
Young Fathers – Get up
Red Hot Chili Peppers – Higher ground
The Craftmen Club – Animals
Buddy Buddah – Lovin in the rain feat. Shagmah
Para One – Love ave
Gorillaz – Tomorrow comes today
Outkast – Spread
DPSLY
AGENDAAAAAAAAAAAAAAHHHHH
Waloobeach Consortium – Dors si mal
Sultan Bathery – Dead leaves
Cloud Nothings – I’m not part of me
Holograms – Chsing my mind
Disiz – Banlieusard syndrome
Mac Demarco – Passing out pieces
Ages And Ages – Light goes out
Fauve – Infirmière
Temples – The guesser
Super Social Jeez – Things went down
I’m Not Even A DJ – Waste & cost
Schoolboy Q – Gangsta
Casseurs Flowters – Fais les backs
Le Lundispensable : « Gorillaz »
Gorillaz – Clint Eastwood
Kill The Young – Money/Power/People
Peter Pitches – Lost boys
Divine Paiste – Oblivion’s land
Bigmoneymakers – 1789
Verbal Razors – Hard boiled head
La Mécanique Des Sourds – Potence tranquille
Buddy Buddah – Buddy Buddah
Darius – Omeo
Drake – The motion feat. Sampha
Dur-Dur Band – Dooyo
King Khan & The Shrines – Bite my tongue
Busta Rhymes – Turn it up
Symbiz – Taking over feat Zhi MC
Daft Punk – Funk ad
« Bonjour, je vous appel à propos du festival Autocar ! »
Le Lundispensable : Gorillaz – Gorillaz (présenté par Enzo)
Camilla Sparksss – For you the wild (présenté par BSN)
> Kap Bambino sous valium
Mac Demarco – Salad days (présenté par Violette)
> Qui pose fièrement avec ses grosses dents et sa chemise à carreaux
Chinese Man Records – The groove session vol.3 (présenté par Mel.P)
> Avec tous leurs copains babos
Giganta – Force EP (présenté par BSN)
> La force des montagnes grecques
Howler – World of Joy (présenté par Enzo)
> Sous l’ombre du premier album
Ok Choral – Away you’ll go (présenté par Yohan)
> Avec Deezer, la vie est belle !
Das Vessel – Island interval (présenté par Adèle)
> C’est le pokemon tout mignon Tibodo qui joue dedans
MachineDrum – Fenris district (présenté par BSN)
> Le marronnier. Poule up.
Buddy Buddah – St (présenté par Enzo)
> Album sexuaaaal de la semaine
AGENDA
Rocky Wood – Shimmer (présenté par Yohan)
> A ne pas confondre avec Rocky 4, Woodkid ou Woody Wood Pecker.
Kill the Young – Fingers for guns (présenté par Nivek)
> On aime pas mais tu peux en gagner toute la semaine, ça compense
Chris Garneau – Winter games (présenté par Mélissa)
> Sortez les rasoirs.
Disiz – Trance-Lucide (présenté par Enzo)
> A aucard de Tours !
Sultan Bathery – EP (présenté par Adèle)
> AKA les lapins de duracel
Samantha Crain – Kid face (présenté par Yohan)
> De la folk bâtarde, mais pas de Bordeaux
I’m Not Even a Dj – First (présenté par Nivek)
> Tu m’étonnes !
Future Islands – Singles (présenté par Enzo)
> Si t’étais pas à leur concert de Paris la semaine dernière, t’as raté ta vie
Loki Starfish – Hey there (présenté par Mélissa)
> La persévérance fini par payer
GORILLAZ – Gorillaz
Gorillaz – Gorillaz (2001 – EMI)
Le bug de l’an 2000 a fait des petits. Un groupe virtuel a surgi de nulle part en ce début du siècle, sous le nom étrange de Gorillaz. Un univers graphique fort, maîtrisé par le dessinateur de bande dessinée Jamie Hewlett, et un crew de quatre affreux rockeurs steam-punk moderne : 2D, Noodle, Murdoc Niccals et Russel Hobbs.
Une voix, un homme seulement derrière tout ce beau monde : Damon Albarn, connu à l’époque pour être le leader charismatique de Blur. On était loin de se douter que ce groupe fantoche subtiliserait la vedette au mythique band de britpop : 10 ans plus tard, on dit plutôt : « Blur ? Ah ouais, avec le gars de Gorillaz ! ». Pourtant, la critique était sceptique à la sortie de l’album, mais n’a pu que s’incliner face à l’éclectisme qui ressort de ces quinze pistes aux influences au moins aussi diverses et variées que ceux qui les ont engendrées (Jamie Hewlett étant considéré comme membre du groupe à part entière).
Il faut dire qu’ils ont su s’entourer : embauchant Dan The Automator à la production, et variant les plaisirs avec des invités particulièrement éclectiques (Del Tha Funky Homosapiens sur le tube Clint Eastwood, ou encore Ibrahim Ferrer du Buena Vista Social Club sur Latin Simone), le premier album éponyme de Gorillaz réussit l’impressionnant pari de flirter avec l’easy-listening mais en gardant une touche unique et accrocheuse qui fait la différence entre un album qu’on appréciera quelques mois et un album qui restera pour longtemps dans les annales. Entre trip hop, britpop, hip hop, rock, ambiant, dub (et même parfois latino), Gorillaz se paye le luxe de s’approprier le large spectre des musiques modernes et de les compiler avec une cohérence improbable sur un seul album.
Cet opus mérite sans nul doute sa place dans le panthéon des meilleurs disques pop de ce début de siècle et il est pour certains la seule Å“uvre vraiment mémorable du groupe qui a multiplié les récidives avec de plus en plus d’invités et d’ouverture mais avec peut-être moins d’originalité et de fraîcheur que ce premier opus, désormais culte.
BUDDY BUDDAH – s/t
Un nouveau duo très intrigant débarque à Tours sous le nom sunshine de Buddy Buddah. A l’écoute du premier morceau éponyme de cet album, on imagine clairement deux crooners, probablement à la pilosité envahissante révélée par un marcel blanc usé et à la moustache très 70’s.
Mais quand on apprend finalement que derrière Buddy Buddah se cachent peut être les deux producteurs de musique électronique Tourangeaux les plus fous de ces dernières années, à savoir Janski Beeeats et Krumlek, on s’étonne. Que deux dynamites additionnées fassent quelque chose de si posé, classe et chill, qui l’eût cru? Mais lorsqu’on se plonge plus loin dans l’EP, on décèle tout de même quelques indices indéniables. Certains passages très 8bits (sur Temple Station notamment) trahissent la patte de Janski.
Le titre ovniesque Lollipop par exemple, composé par les deux comparses de Buddy Buddah trouve parfaitement sa place ici : un hymne pop kitch et jouissif.
D’une manière générale, Buddy Buddah s’inscrit dans une musique résolument organique, chaude et groove. Des basses très rondes (un solo incroyable dans le premier morceau), avec des influences légèrement house ou techno, le tout maintenu par une qualité de production assez hallucinante pour un projet à peine développé, invite l’auditeur dans une transe lascive. Gros travail de ces deux acharnés de la musique. On attend avec impatience une adaptation live, nul doute qu’ils auront à cÅ“ur de retranscrire l’univers si particulier de ce premier EP. Vivement l’été, les marcels blanc et les moustaches 70’s.
Teaser : https://www.facebook.com/photo.php?v=431607396973742
Facebook : www.facebook.com/pages/Buddy-Buddah
Soundcloud : https://soundcloud.com/buddy-buddah
J’ai grave pécho sur la 5 des Backstreet Boys.
METRONOMY – Love letters
SEBASTIEN TELLIER – Divine
TIJUANA PANTHERS – Boardwalk
LA FEMME – Sur la planche
PENDENTIF – Riviera
BOSCO DEL REY – Egyptian holed up
HOLOGRAMS – Astray
KAROL CONKA – Boa noite
PHARELL WILLIAMS – Come get it Bae
KARTELL – Midnight walk
HYPNOLOVE – Winter in the sun
SCHOOLBOY Q – Man of the year
POWERSOLO – The rither
BLACK LIPS – Boys in the wood
BAD BILLY – Words
PIANO CHAT – Nous irons nous promener
VERONICA FALLS – The fountain
BEACH HOUSE – Zebra
ALPHA WANN – L’histoire d’un type bien
JAMAIS 203 – On est au calme
AL’TARBA – The vengeance sisters
THE GEEK X VRV – Everything
ODEZENNE – Hirondelles
FLORENT MARCHET – Apollo 21
VERBAL RAZORS – Teenage threat to the throat
JOHNNY NASH – Guava jelly
BRIGITTE FONTAINE & ARESKI BELKACEM – C’est normal
KELIS – Jerk ribs
THE LADYBUG TRANSISTOR – Meadowport Arch
PAUL DURANGO & THACKERY EARWICKET – Encore un moment, monsieur le Curé, nous nous en irons ensemble…
TONY DALLARA – Come prima
NIGHTMARE BOYZZZ – Don’t wanna feel alright
CRUSADERS OF LOVE – Next summer
THE STROKES – I’ll try anything once
BEYONCE – Pretty hurts
Mars 14#4
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