BLONDIE – Parallel Lines

Après beaucoup d’hésitations sur l’album de Blondie parfait pour un Lundispensable, mon choix s’est porté sur leur troisième album sorti en 1978, Parallel lines, qui a fait un carton à l’époque.

J’avais certainement dû écouter du Blondie auparavant, mais je sais que c’est le titre Atomic qui m’a accroché définitivement à leur musique.

C’est dans le film Trainspotting, avec la scène mythique où le craquant Ewan McGregor rencontre la collégienne que j’ai pu l’entendre pour la première fois, un film avec une mine d’or de tubes pop mais pas que. Et là, la reprise d’Atomic par le groupe Sleeper, tellement survoltée, m’a donné envie d’en savoir plus sur Blondie.


C’est en visionnant des vidéos sur Youtube que j’ai fait la connaissance de Deborah Harry, la chanteuse charismatique et sexy du groupe. Quand on la voit chanter, on a juste envie de dire wouah quelle classe ! Elle dégage tellement qu’on en oublie les musiciens complètement relégués au second plan. On ne peut que l’admirer quand elle danse avec sa petite robe à paillettes et ses talons de 10 cm sur One way or another.

D’une manière ou d’une autre, elle nous aura, elle nous trouvera, et on ne pourra que la suivre. Une chanson bien rock, pas vraiment violente, mais certainement pas une ballade ! Rien à voir avec le futur titre disco/pop Call Me qui est cependant génial.

Avec le premier morceau Hanging On The Telephone, Debbie Harry me fait du rentre-dedans et vient me chercher par la main pour m’inviter à me déhancher gaiement sur la piste. Tout commence avec un bruitage, un téléphone qui sonne occupé et ensuite tout s’enchaine à 100 à l’heure avec de la power pop et une énergie punk.

Sunday girl, quant à elle est une chanson bien rétro, que l’on déguste comme un sorbet acidulé, très pop, hautement addictive faisant partie des classiques absolus de Blondie.

Et voilà Heart Of Glass, le big tube faussement disco, vraiment pop, avec la voix divine de Debbie Harry, une merveille absolue dotée d’un groove que l’on n’oublie pas.


L’archétype du disque parfait, rien à jeter, tout à admirer, à chérir, à passer en boucles.

BLONDIE – Parallel Lines by Beton on Mixcloud

Laisser un commentaire