THE VERVE – Urban Hymns

Voici aujourd’hui mon probable dernier lundispensable… Alors attention, on parle de britpop ! Bah ouais, tu me connais, moi j’aime la pop. Et cet album, c’est « Urban Hymns », LE 3e album du groupe majeur de la scène britannique des années 90 : The Verve.

Formé en 1989 à Wigan, le groupe a sorti deux albums avant celui-ci : un en 1993 et un autre en 1995 qui sont complètement passés inaperçus. Et le groupe a bien faillit en rester là, car après ces débuts plus que mitigés, le chanteur et leader du groupe, le beau et charismatique Richard Ashcroft, qui consomme à cette époque beaucoup d’ecstasy, se déclare « fini et sans avenir ». Mais heureusement pour nous, il se ravise peu de temps après et enregistre ce fameux troisième album en 1997 : « Urban Hymns » avec le single « Bitter Sweet Symphony » qui propulsera le groupe sur la scène internationale et qui deviendra leur hymne et celui de toute une décennie. Allez, on vous laisse un peu en profiter maintenant :

Largement salué par la critique, l’album enchaîne tube sur tube, entre ballades pop mélancoliques comme « Sonnet », « Lucky Man » ou « Space in Time » et des titres plus psychés comme « Catching the butterfly », plus rock comme « Rolling People » ou plus blues comme « The Drugs don’t work ».

Bref, une brit pop excellente comme on les aime, comme je les aime en tout cas. Un album que je ne me lasserai pas d’écouter de si tôt.

Allez, on arrête le blabla là – de toute façon quand c’est beau, c’est beau et puis c’est tout – et on écoute tout de suite la magnifique voix de Richard Ashcroft sur le titre « Sonnet », chut, chut, ça démarre :

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